Quand un meuble est abîmé, cassé et/ou dysfonctionnel, quand son mécanisme tombe en panne, il est très rarement réparé. Pourtant, l’étude au sujet de la réparation des meubles, menée par Ecomaison est formelle : les particuliers sont ouverts à la réparation de leurs meubles dans 38 à 71% des cas en fonction de la nature des dommages et du type de meubles à réparer. Ce qui les freine ? Principalement, le manque d’information… et de service de réparation !
De plus en plus de particuliers s’intéressent à la réparation des meubles. Et ils ont raison ! Sur de nombreux aspects, la réparation est très intéressante pour prolonger la durée de vie des meubles. La majorité des réparations est faite par le propriétaire du meuble (75 à 92 % suivant la catégorie). Réaliser des économies, faire durer ses meubles, préserver les ressources… les arguments en faveur de la réparation ne manquent pas.
Mais alors pourquoi, aujourd’hui, la plupart des meubles réparables ne sont-ils pas réparés ?
Une étude pour comprendre le besoin des particuliers.
Pour en savoir plus, Ecomaison et C-Ways ont mené une étude en octobre 2022 auprès de 2 000 personnes de plus de 18 ans. Les résultats démontrent l’intérêt des particuliers envers la réparation du mobilier.
1/4
des ménages français est concerné par au moins un endommagement chaque année
45,5 %
des Français préfèrent opter pour la réparation du meuble plutôt que le rachat à neuf
42 %
des Français préfèrent conserver leur meuble car ils y sont attachés.
De cette étude ressort surtout qu’il existe un fort besoin concernant la réparation des fauteuils et canapés : c’est là que l’on observe le plus faible taux d’autoréparation. Pourquoi ? Car il s’agit de réparations plus difficiles, nécessitant l’intervention d’un professionnel, notamment pour des endommagements au niveau d’une assise cassée ou encore d’un mécanisme bloqué.
62 %
des fauteuils et canapés endommagés sont hors garantie (légale ou commerciale) lorsque le problème survient
seulement 75 %
des fauteuils et canapés sont réparés par les propriétaires eux-mêmes
Cela s’explique notamment par la technicité des réparations à opérer, lorsqu’il s’agit de fauteuils ou canapés dotés d’un mécanisme.
Cette étude révèle aussi que les particuliers choisissent la réparation dans 30 à 50 % des dommages qu’ils rencontrent sur l’ensemble des meubles qu’ils achètent. Dans la plupart des cas, les propriétaires réparent eux-mêmes ou se font aider par leur entourage. Sinon, ils abandonnent, car leur meuble n’est plus sous garantie. La réparation des meubles est donc un besoin très concret et répandu parmi l’ensemble de la population. Surtout, la moitié des personnes interrogée se dit prête à payer jusqu’à 20 % du prix initial de leur meuble pour sa réparation.
Distributeurs, comment transformer ce besoin en service ?
En première ligne pour répondre à ce besoin de réparation encore inexploité, vous avez la possibilité de stimuler votre activité en proposant à votre clientèle une nouvelle offre ayant un fort potentiel sur le marché de l’ameublement.
Vous pouvez, par exemple, devenir réparateur labellisé Ecomaison. Un service supplémentaire pour vos clients qui apporte une forte valeur ajoutée à vos engagements environnementaux et écologiques, auxquels de plus en plus de consommateurs sont attentifs.
Pour vous accompagner dans votre offre de réparation, Ecomaison finance le Bonus Réparation, une remise financière sur la facture au bénéfice des particuliers qui font réparer leur produit chez un réparateur labellisé. Ainsi, se tourner vers un professionnel labellisé pour effectuer une réparation sera plus attractif pour eux.
En effet, en tant que réparateur labellisé, vous lui facturez la réparation en déduisant immédiatement le Bonus Réparation. Puis, Ecomaison vous verse le montant correspondant. Vous pouvez donc faire bénéficier à vos clients de services à prix attractifs.
Découvrez comment proposer la réparation à vos clients